(Sortez les mouchoirs!)
Dans les années 20, le professeur Hidesaburo Ueno adopta un jeune chien akita et l’appela Hachi (ou affectueusement, «Hachiko»). Pendant un peu plus d’un an, tous les matins et tous les soirs, Hachiko accompagnait son maître jusqu’à la gare de Shibuya et revenait l’attendre au même endroit, en fin de journée. En 1925, le professeur mourut à son travail d’une attaque d’apoplexie. Comme son maître ne revint plus ce soir-là, Hachiko continua de venir l’attendre à la gare, chaque jour, jusqu’à ce qu’il meurt à son tour, 11 ans plus tard.
(Vous pleurez? Vous avez un énorme pincement au ventre, vous aussi?)
Les piétons attendent leur tour au célèbre carrefour de Shibuya
Pour honorer la fidélité d’Hachiko, les japonais lui érigèrent une statue, qui fait aujourd’hui face à une sortie de la gare de Shibuya portant également son nom.
Si cette histoire vous dit vaguement quelque chose, c’est peut-être parce que vous avez vu ou entendu parler, l’hiver dernier, d’un film d’Hollywood intitulé Hachi: a dog’s tale, mettant en vedette Richard Gere? Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part, je crois que je serais incapable d’écouter cette histoire sans pleurer durant toute la durée du film!
Ben voilà j’ai même pas commencé ma journée que je pleure. C’est si mignon …
Booon… 8h du mat et je pleure déjà! Moi non plus je ne serais pas capable d’écouter le film! Trop sensible la fille, surtout quand ça parle d’animaux!
C’est cute!
Il y a une histoire semblable à Edimbourg: le chien s’appelait Bobby et il a sa statue devant le Greyfriar’s Kirk. Le petit Bobby a veillé la tombe de son maître dans le cimetière jusqu’à ce qu’il meure à son tour, plusieurs années plus tard.
Ben voilà … Je reviens encore sur ce post et je re-pleure comme une madeleine. Mon cœur en sucre est complètement en poudre.