Je n’ai pas pu résister; ces temps-ci je me sens un peu comme Charlie (je vous expliquerai pourquoi plus tard cette semaine!) alors je me suis procurée et j’ai relu la version française « folio junior » de Willy Wonka and the chocolate factory! Après tout, c’est la fin de semaine de Pâques!
Ayant d’abord été publié en 1964 par le célèbre Roald Dahl, Charlie et la chocolaterie a ensuite été adapté au cinéma à deux reprises; si vous avez eu la chance de voir la version plus récente de Tim Burton (2005), il est difficile d’oublier le visage de Freddie Highmore en Charlie et de Johnny Depp en Willy Wonka… Cependant (chose qui ne m’est pas arrivée souvent!) voir le film ne m’a pas empêchée de relire le livre d’origine et de constater que mon imagination plânait encore dans ses propres créations; au diable les images fraîchement pondues par les effets spéciaux! Quelle joie, une histoire qui semble résister à sa version cinématographique! Ah ça c’est le signe d’un véritable classique, à lire et à relire…
– Et comme ça sent bon! répondit grand-papa Joe en reniflant longuement. Les plus merveilleux parfums du monde se rencontraient dans l’air qu’ils respiraient. Un savant mélange de café grillé, et de sucre confit, et de chocolat fondu, et de menthe, et de violette, et de noisette pilée, et de fleur de pommier, et de caramel, et de zeste de citron…
(Et pour les curieux ou inconditionnels, il y a également une suite: Charlie et le grand ascenseur de verre; je ne l’ai pas encore lue… euh… shut… je m’en vais l’acheter tout à l’heure!)