(Bon, je triche, nous ne sommes déjà plus à Kuta présentement; mais il y a tant de choses à raconter!)
«Transport?», «Yes, transport?», «Taksi?», «Where do you come from?», «Yes? Massage?», «Massage» (Klaxon de taxi, qui ralenti à notre passage), «Come my friend!» (Clochettes provenant d’une cariole tirée par des chevaux), «Transport?»…
Coucher de soleil à marée basse sur la plage de Kuta
Jus frais de carambole!
Impossible de relaxer dans les rues de Kuta! Il faut constamment être en état d’alerte 1- pour répondre «non» à tous les gens qui nous sollicitent, 2- pour éviter de marcher sur des offrandes, 3- pour ne pas se faire accrocher par un scooter! Au début, on a envie d’être gentils, mais on se rend rapidement compte qu’il est plus simple de faire «non» de la tête à tous ces gens qui nous apostrophent!
Le jour, de paroles en signes de têtes, dans les rues de la ville, on sent constamment que nous «ne sommes que des touristes», aux yeux des locaux. Le soir, sur la plage, lorsque le soleil se couche, la scission entre balinais et touristes disparaît enfin dans la fraternité et les sourires; quel plaisir!
La plage de Tuban-Kuta-Legian-Seminyak, où l’on peut marcher, les pieds dans l’eau, sur plusieurs kilomètres!
Rue principale à Tuban (South Kuta beach)
Quelques souvenirs de Kuta, en rafale, dont je vous reparlerai plus en détails à notre retour: un agréable (mais douloureux!) massage lomi lomi, le goût d’une mangouste (un fruit très capricieux dont le goût rappelle un peu le litchi), notre visite instructive des marchés de Denpasar (grâce à une gentille dame qui a répondu à toutes nos questions!), ainsi que nos premiers essais (très concluant) de street food balinais! À bientôt!
Seul sur le sable, les yeux dans l’eauuuuuu…
(Oui, grâce à moi tu auras du Rock Voisine dans la tête même à Bali !)
tu devrais être guide touristique tu sais nous faire rêvé
@Christelle: «…mon rêve était trop beeeeau» Ça a marché hihi
@François: Merci encore! 🙂